Qu’est-ce que c’est ?
On la qualifie le plus souvent de médecine douce, mais aussi de médecine parallèle, alternative, ou encore complémentaire. Inventée il y a maintenant plus de deux siècles par un médecin allemand, le docteur Samuel Hahnemann, elle rencontre de plus en plus de succès en France.
Comment être efficace devant une infection banale, un trouble fonctionnel ou émotionnel, une inflammation chronique ou récidivante ?
C’est la première réponse de l’homéopathie.
Une réponse sans risque iatrogène, à faible coût, et adaptée à de très nombreuses situations. L’homéopathie trouve ainsi sa place naturelle au milieu des autres thérapeutiques dans une pratique clinique rigoureuse et attentive à la singularité de chaque patient.
L’homéopathie repose sur :
> La personnalisation : chaque personne répond différemment à une maladie ou à un traitement, l’homéopathie s’efforce donc de personnaliser le traitement pour chaque individu.
> La similitude : étonnamment selon l’homéopathie on peut traiter une maladie en administrant à très petite dose une substance qui à haute dose serait responsable de l’effet principal de la maladie. Il s’agit de la célèbre formule : « Simila similibus curentur » qui signifie « les semblables soignent les semblables ». Par exemple on peut donner contre la grippe des remèdes homéopathiques présentant à très petite dose des parties du virus de la grippe pour combattre cette infection.
Mais le plus grand avantage des traitements homéopathiques :
C’est leur absence de toxicité et d’effet secondaire. Contrairement aux traitements « classiques « , l’homéopathie ne présente donc ni risque ni mauvaise surprise.
Enfin, un détail qui n’en est pas un :
elle est économique. Impossible de se ruiner en granules